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18 juillet 2010 7 18 /07 /juillet /2010 06:45

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Le Mouvement BDS prend Israël pour cible exclusive.


Un des premiers signes qui suggèrent que le BDS promeut sous le manteau un programme de dé-légitimation est l'usage de cette arme contre Israël uniquement.


Cela ne doit pas faire illusion : les conséquences pour l'économie israélienne sont dérisoires, et c'est surtout en France que ces actions ont des conséquences malheureuses, constituant un trouble manifeste à l'ordre public.


Les critiques que le BDS adresse à Israël publiquement et consciemment sont disproportionnées en comparaison de celles adressées à d'autres pays. L'objectif est d'isoler Israël, en l'accusant d'être le seul état vaurien, et de justifier ainsi l'adoption de mesures d'une agressivité peu commune à son encontre.

En encourageant un boycott global et une cessation des relations, Le Mouvement BDS cherche très nettement à saper la coopération israélo-palestinienne. Une telle tactique nuit aux projets en cours tout en empêchant aussi le développement de nouvelles structures coopératives. Très souvent, de telles mesures vont à l'encontre des intérêts palestiniens.

Pendant de longues années, l'Histadrout (le syndicat israélien) et son homologue palestinien, le PGTU (la Fédération Générale Palestinienne des Syndicats) ont entretenu des rapports étroits. Jusqu'à l'année dernière, les dirigeants des syndicats palestiniens s'étaient opposés au boycott de l'Histadrout. Mais suite à une réunion avec les Amis d'Israël du Syndicat Britannique (TUFI), Shahar Saed, le chef du PGFTU et Adel Yaish, le maire de Naplouse, furent contraints par le Mouvement BDS britannique d'abandonner leur position traditionnelle et de lancer un appel public au boycott de l'Histadrout. (Global BDS Movement Web site, 25/11/09).

La décision de boycotter le 13ème Festival International du Film de Tel-Aviv est venu de personnes affiliées au BDS et à la Campagne Palestinienne pour le Boycott Universitaire et Culturel d'Israël, bien que l'un des projets du festival, "Café : entre Réel et Imagination" ait eu pour but d'encourager la coopération chez les jeunes étudiants cinéastes israéliens et palestiniens.

Jusqu'en 2009, L'Université d'Al-Quds avait entretenu de très bonnes relations avec les institutions académiques israéliennes, ayant près de 60 projets en cours pour une valeur de 5 millions de dollars. Sari Nusseibeh, Le président de l'Université est connu pour sa forte opposition au boycott. En 2009, l'administration de l'Université, épousant la position des donateurs des pays arabes, a décidé de geler tous les projets en commun. La décision de l'Université a été fortement applaudie par le Mouvement global BDS Palestinien (The Chronicle of Higher Education, 03/02/09.)


En théorie, le Mouvement BDS est censé promouvoir les droits de l'homme, la justice internationale et la paix. Mais dans la pratique, ce mouvement encourage la dé-légitimation de l'Etat d'Israël en minant explicitement ou implicitement, son droit à l'existence en tant qu'état juif et démocratique.

Ce Mouvement, toutefois, ne présente pas de structure hiérarchique. C'est un réseau activé par quelques têtes de réseaux, soit des particuliers soit des organisations, qui sont à l'origine des activités du mouvement et qui poussent à la dé-légitimation d'Israël.

Jusqu'ici, le Mouvement BDS ne peut se vanter que de peu de réussites concrètes. Le mouvement n'a réussi à faire progresser ni le boycott académique, ni celui des produits de consommation auprès du grand public. Entretemps, ces dernières années, Israël a bénéficié d'un essor économique, et l'état vient d'être accepté au sein du groupe prestigieux que forment les états-membres de l'OCDE.

BDS doit donc avant tout être classé comme un outil servant à donner d’Israël la réputation d'un état paria et ayant pour objectif ultime sa dé-légitimation en tant que structure politique.

Le Mouvement BDS n'exprime pas ouvertement son soutien à la destruction de l'Etat d'Israël, ni à la solution d'un seul état, ni à aucune autre solution politique au conflit israélo-palestinien. Les leaders voudraient présenter leur Mouvement comme un mouvement apolitique et libéral tout en essayant d'établir une campagne aussi vaste que possible, coordonnée et unifiée, rejoignant ceux qui critiquent la politique israélienne.


Le Mouvement BDS a ainsi réussi à créer une plateforme pour ceux qui critiquent Israël légitimement et également pour ceux qui veulent le dé-légitimer sans que les premiers soient conscients des valeurs radicales épousées par les seconds.


Il est très net que les coordinateurs du Mouvement BDS utilisent le Mouvement pour promouvoir leur programme de dé-légitimation d'Israël, ce qui va à l'encontre de l'image que le Mouvement essaie de projeter, celle d'un mouvement progressiste et humanitaire. Ce programme se reflète dans nombre de déclarations des coordinateurs du Mouvement prônant la dé-légitimation en des termes explicites. En demandant "le Droit au Retour", en qualifiant Israël d'état d'apartheid et en essayant de miner la coopération israélo-palestinienne, c'est implicitement que le Mouvement promeut son programme.

C'est avec une ambiguïté prudente que le Mouvement BDS s'exprime en public pour parler de son programme, quant au droit d'Israël à l'existence et quant à ses préférences politiques pour la conclusion politique du conflit israélo-palestinien. Une étude des déclarations montre qu'au contraire, un grand nombre de catalyseurs du Mouvement cherchent à saper la légitimité de l'Etat d'Israël et aussi celle du Sionisme. Cette étude perçoit le Mouvement comme outil pour affaiblir et ébranler le modèle politique de l'Etat d'Israël.

Le Mouvement BDS promeut en termes clairs et nets "le droit au retour" en Israël des Palestiniens déclarés réfugiés depuis 1948. Ce "droit au retour" signifierait clairement la fin d'Israël en tant qu'état juif et démocratique. Le Mouvement justifie ce "droit" en se fondant sur sa propre définition d'Israël comme état colonialiste, raciste, né dans le péché suite au nettoyage ethnique des habitants palestiniens.

Sami Hermez, un universitaire antisioniste, écrit que "Le BDS permet de tenir des propos qui vont au-delà de l'expression "en finir avec l'occupation" en donnant la priorité primordiale aux demandes du droit au retour et de l'égalité des droits pour les palestiniens vivant en Israël. "( Electronic Intifada, 01/10.09)

Le Mouvement BDS a créé un rapport sans fondement entre la politique de l'Afrique du Sud blanche et celle d'Israël en comparant faussement la base illégitime du régime d'apartheid et le soi-disant manque de légitimité d'Israël. Ce rapport se voit renforcé par l'emploi diffusé et conscient d'une terminologie d'apartheid lorsqu'on évoque Israël.


L'usage d'une telle terminologie d'apartheid dans différents contextes est sciemment orchestré pour désigner Israël comme état d'apartheid. De par cette association, on en arrive à la conclusion que les principes fondateurs d'Israël sont injustifiables et que le modèle politique d'Israël doit donc logiquement partager le sort du régime d'apartheid.


Les récents avis reçus par des personnes se trouvant au milieu de leurs manifestations plus qu'agressive et poussant au déni et mépris d'Israël se trouvent partagé entre un agacement certain lorsque des clients désirent faire leurs achats sereinement, sans avoir le sentiment d'être intimidé ou montré du doigt.


Cette manière de procéder pousse le citoyen qui ne connait ni ne souhaite rentrer dans cette façon de faire à être pointé comme responsable, comme complice volontaire d'une accusation hors de sens et non fondée.


Aucune objectivité saine n'est présentée puisque tout ce qui concerne Israël est montré de manière destructrice. Rien ne sort de bon de là bas malgré les nombreux domaines où Israël justement excelle dans la recherche, le soutien humanitaire, le désir fort d'une solution de paix non seulement avec les Palestiniens mais aussi avec les pays qui veulent le clouer comme ennemi, la lutte contre le terrorisme, l'aide sociale, technique, commerciale qu'il procure abondamment que ce soit en Europe, Amérique, Asie ou Afrique.


La méconnaissance du proche orient permet pour BDS de pallier à cette lacune en présentant une approche qui n'a rien à voir avec le désir de paix et d'entente fraternelle puisqu'Israël indirectement n'a pas de place, sinon celle de spoliateur, d'usurpateur et voleur.


Un subtil mélange permettant l'amalgame, la suspicion pour finir en opposition qui ferait rougir de honte toute personne se rendant compte de cette manipulation amène à voir que cette campagne de déligitimisation consciente ramène à ce que Mr Eric Raoult, député à l'Assemblée Nationale dénonçait comme une douleur d'une ère pas si lointaine qui a précédée et préparée l'un des plus grands génocides notre histoire.


Ce n'est pas sans oublier également encore toutes les autres périodes depuis des centaines d'années où parqués, chassés, massacrés, le peuple juif fut encore la cible privilégié de tous les maux de la terre.


L'histoire est là pour qui veut bien s'y pencher avec sérieux. Réitérer ces attaques fait bien comprendre aujourd'hui qu'après anti-juif, il est plus facile pour une majorité de se terrer derrière l'antisionisme sans avoir à craindre une quelconque remontrance internationale. Peu sont dupes, il appartient désormais à la Justice de se pencher sur ce que Martin Luther King voyait déjà, et ce que le peuple Juif savait déjà.

 

 

Claude GOASGUEN met en ligne sur son blog le texte de la question d'actualité posée a la Ministre de l'Intérieur, Mme Alliot-Marie, au sujet des opérations commandos de Boycott antijuif menées ces derniers mois dans les supermarchés CARREFOUR par  la CAPJPO.


Plusieurs plaintes ont été déposées, notamment par le BNVCA , qui visent nommément la CAPJPO.  Et Mme Alliot-Marie n'ignore pas que le Parquet peut (et doit) agir, meme en l'absence de plainte, quand des faits délictueux sont avérés... Les efforts de MM. Goasguen et Raoult se poursuivent, et l'impunité des boycotteurs cessera.


Lors d'une réunion du bureau du groupe d'amitié France/Israël, Claude Goasguen et certains de ses collègues UMP ont posé une question d'actualité sur des actions "coup de poing" d'associations dans les supermarchés pour appeler au boycott des produits israéliens.

 

 


La question d'actualité a été posée le mercredi 20 mai 2009 par Eric Raoult à Michèle Alliot-Marie.


"Monsieur le président, je souhaite associer à ma question plusieurs de mes collègues : Claude Goasguen, Patrick Calméjane, Gérard Gaudron et Patrick Beaudouin.

Madame la ministre de l’intérieur, vous avez déclaré à plusieurs reprises, tout comme le Président de la République, que les conflits du Proche-Orient ne devaient pas ressurgir en France. Hélas, la réalité est différente. Depuis plusieurs mois, des intrusions violentes de groupes d’extrême gauche accompagnés parfois d’élus, notamment Verts (Exclamations sur les bancs du groupe GDR), se multiplient dans les centres commerciaux, dans le but d’appeler au boycott de produits israéliens. Ce fut en particulier le cas en mars dernier dans des grandes surfaces du département de la Seine-Saint-Denis, notamment à Saint-Denis et à Aulnay-sous-Bois, puis dans d’autres grandes surfaces de banlieue où des produits alimentaires israéliens ou casher ont été retirés des rayons et jetés à terre pour signifier une pseudo-condamnation de la politique israélienne.

Ces actions, violentes et inquiétantes, seraient déjà au nombre d’une quarantaine, et il semble qu’elles continuent à se développer en toute impunité. Certaines ont d’ailleurs été filmées et sont visibles sur des sites Internet, où sont communiquées des listes de marques à boycotter, soit parce que les entreprises qui les commercialisent travaillent en Israël, soit parce qu’elles « ont des Juifs à leur tête », pour citer les termes employés sur l’un de ces sites. Ces agissements anti-israéliens ont un fort relent d’antisémitisme. (Approbations sur de nombreux bancs.) Ils sont inadmissibles et ont ému et inquiété la communauté juive de France, notamment en banlieue.

Madame la ministre, ces opérations commando et ces appels au boycott sont interdits. Ils ne sauraient pour autant rester sous silence, sans que les pouvoirs publics interviennent, d’autant qu’ils commencent à se banaliser. Il paraît nécessaire que des poursuites soient engagées contre leurs auteurs.

 

_______

 

 

Une  des membres d'ailleurs  en février 2010, en apposant un autocollant appelant les consommateurs à boycotter les produits des entreprises israélienne fut condamnée pour « incitation à la haine raciale ».


En avril 2009, le magasin CORA de Remiremont (Vosges),  a porté plainte contre un client qui s'était permis de demander au magasin le retrait des produits israéliens de ses rayons! Cette initiative fut évidemment dénoncée par EUROPALESTINE, qui appellait ses lecteurs à écrire au magasin CORA pour protester. 


D'autres actions républicaines d'ailleurs parcourent l'ensemble du pays depuis de nombreux mois.


COMMUNIQUE DE L'UPJF




Des associations pro-palestiniennes se sont rendus dans plusieurs magasins "Carrefour" de la région Parisienne, pour en éliminer les produits israéliens. Ils appellent par la force la grande distribution à ne plus acheter ni distribuer de produits israéliens.


Ces actes de vol et de terreur et ces appels au boycott sont punis par l’article 225-2 (2°) du code pénal et l'article 23 de la loi du 29 juillet 1881.


L’UPJF demande au gouvernement de tenir av

 

ec fermeté et sans délais les engagements exprimés dans sa réponse ministérielle du 12 août 2002 (Assemblée nationale - Question écrite n° 1491 - Garde des Sceaux, ministère de la justice) qui rappelait :


« Il appartient aux parquets de veiller à engager des enquêtes pénales afin de caractériser les éléments constitutifs de ces infractions et de faire connaître aux victimes de ces actes les suites judiciaires qui leur ont été réservées. Enfin, le garde des sceaux entend assurer à l'honorable parlementaire que les services de la Chancellerie veilleront à ce que de telles procédures reçoivent le traitement pénal le plus approprié et ne subissent aucun retard injustifié. »


Les associations et ceux qui participent à ces manifestations haineuses et illégitimes, en totale violation du pacte républicain, peuvent aisément être identifiés, au vu des nombreuses vidéos que l’UPJF tient à la disposition de quiconque.


Afin d’assurer la cohésion nationale et de faire prévaloir les principes de la république sur la terreur, que les Palestiniens et leurs supporters veulent importer de Gaza en France, L’UPJF demande, de façon urgente, à ce que le Parquet soit saisi sans délai, pour poursuivre les associations et ceux qui participent à ces actes de terreur et de vandalisme illégaux.



© upjf.org



Mis en ligne le 27 mars 2009, par M. Macina, sur le site upjf.org

 

 

 



21.03.2009

Plainte contre la CAPJPO pour boycott de produits israéliens dans les magasins "Carrefour"

Le BNVCA (Bureau National de Vigilance contre l'Antisemitisme) vient de porter plainte contre les instigateurs des operations de boycott anti-Israeliennes et anti-juives organisées ces dernieres semaines en région parisienne par CAPJPO, dirigée par la militante anti-israelienne Olivia Zemor.

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Boycott antijuif : une tradition qui remonte au nazisme


Le BNVCA dépose plainte contre les organisateurs,instigateurs,auteurs, complices et autres qui,dans des MAGASINS CARREFOUR appellent et incitent au boycott de produits en provenance d'Israel ou fabriques par des marques en rapport avec cet Etat,.
Le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme   a été alerté par des internautes, et de très nombreux autres citoyens indignés et ulcérés par la présence, sur le net, de vidéos en ligne montrant des personnes qui, devant les magasins  « CARREFOUR » de Saint-Denis, Gennevilliers et  Aulnay - sous -Bois, ou devant les rayons, appellent au boycott des produits fabriqués, ou venant d’Israël, et incitent les clients à boycotter ces articles. Ces appels à boycott , organisés, constituant des délits prévus et réprimés par la loi, le BNVCA a décidé de déposer plainte contre les organisateurs, instigateurs,auteurs,complices de ces appels à boycott.  Ce type de campagnes sont de nature  à inciter à la haine d’Israël qui, à court   ou moyen terme, poussent  à l’acte antijuif sur notre territoire : exemple : - «  les israéliens vendent des lingettes bébé, alors qu’ils tuent des enfants palestiniens etc.… »Les vidéos en question sont aussi proposées par le site EUROPALESTINE.COM  de l’Association  CAPJPO. Elles montrent des opérations commandos, organisées pour appeler au boycott. La première s’est déroulée le 14 février 2009 dans les magasins CARREFOUR  de SAINT-DENIS ( 93) La seconde s’est déroulée le 21 février  2009 dans les magasins CARREFOUR de GENEVILLIERS (92) La troisième s’est déroulée le 07 mars 2009 dans le magasin CARREFOUR  d’AULNAY (93). L’Association du Secours Français Pour Israel, (SFSI) ainsi que le Conseil des Communautés Juives de Seine Saint Denis( CCJ 93) ont également déposé plainte auprès du Procureur de a République de Bobigny pour les même motifs. Nous demandons aux dirigeants des magasins CARREFOUR  de ne pas se laisser intimider par ces délinquants, et continuer de proposer à leur clientèle les nombreux articles   en provenance d’Israel, sans discrimination. .                                                                   Sammy GHOZLAN





Une chose est certaine : pendant qu'ils manifestent bruyamment et organisent des razzias dans les magasins ,  en Israël, ils poursuivent avec leurs partenaires objectifs et sérieux des liens économiques et commerciales et développent des  relations scientifiques, y compris (et surtout) avec la France.

 

 


Comme en témoigne cet article du Jérusalem Post, intitulé "Mariage scientifique entre la France et Israël, et consacré à la visite de la directrice du CNRS en Israel, à l'occasion de laquelle a été signé un accord de coopération, le 18 mars 2009, entre le CNRS (Centre national de la recherche scientifique), les universités Paris-Descartes à Paris et Victor Segalen à Bordeaux ainsi que l'Université hébraïque de Jérusalem.

 

 

  Cliquer ci dessous sur le logo Aschkel

pour lire en intégralité

le document exceptionnel traduit par Dominique pour l'Institut Reut 

qui nous permet de comprendre les principaux objectifs,

mais aussi l'absence de résultats patents du Mouvement BDS, 

au-delà de la seule agitation idéologique qui consiste

à désigner à la vindicte Israël comme l'Etat paria par excellence,

celui, le seul, qu'il faille abhorrer.  

Ce mouvement unilatéral et donc profondément anti-humaniste,

sous son vernis, incite à la haine, à la ségrégation morale,

économique et politique et est, in fine, opposé à une solution négociée,

à torts partagés, depuis les prémisses du conflit, au Proche-Orient.  

Il est l'enfant illégitime (parce qu'agissant en dehors de toute légalité) 

de la conférence de Durban 2001

et assume sans complexe 

cette entreprise qu'avait su déceler

le Commissaire aux Droits de l'homme de l'ONU,

à l'époque, Mary Robinson, qui avait dû refuser

les conclusions de la conférence des "ONG".
M.Brzustowski.  

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perez

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france israel dijon

 

 


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commentaires

S
<br /> <br /> C'est le devoir de tout un chacun que d'appeler la police en cas de rassemblement visant<br /> <br /> <br /> à interdir d'acheter israélien. Récemmment quelqu'un tout seul a eu le courage devant carrefour de télephoner au commissariat, d'interpeler le responsable du magasin et ce, devant la  foule<br /> hystérique. Au final les agitateurs ont été  arrêtés et les conséquences vont<br /> <br /> <br /> s'ensuivre.<br /> <br /> <br /> <br />
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