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1 octobre 2014 3 01 /10 /octobre /2014 21:33

alniak_mavi_marmara.jpg

 

L’un des activistes islamistes qui ont attaqué les soldats de Tsahal à bord de la flottille du Mavi Marmara en 2010 aurait été tué dans un raid aérien américain en Syrie, alors qu’il se battait aux côtés des terroristes islamistes.

 

Bulent Alniak a été tué lors d’un raid sur Idlib au  nord-ouest de la Syrie, position tenue par l’EI selon le site turc Bulletin mondial.

 

Selon cette source, Alniak n’était là que pour aider à la préparation de la prochaine fête musulmane de l’Aïd al-Adha.


Mais selon une autre source turque, T24,  Alniak était en Syrie pour combattre aux côtés du Front Nusra – branche officielle d’Al-Qaïda en Syrie.

 

Il y serait arrivé l’été dernier, au début du Ramadan.

 

Quoi qu’il en soit, l’ONG turque qui se trouve être à l’origine de la flottille du Mavi Marmara et dont Alniak était un membre actif,  la Fondation pour les droits de l’homme et la liberté et de secours humanitaires (Insani Yardim Vakfi ou IHH) – est soupçonnée par le gouvernement turc lui-même d’avoir des liens étroits avec Al-Qaïda.

 

En Janvier de cette année, les bureaux de l’IHH ont été perquisitionnés par la police turque dans le cadre d’une enquête sur ces liens terroristes, et le groupe a également été accusé d’envoyer des armes aux rebelles djihadistes en Syrie voisine.

 

On est bien loin du tollé de protestations de 2010, quand Israël était accusé de s’en prendre à une ONG inoffensive.

 

A cette époque, Israël savait déjà à quoi s’en tenir sur la nature de cette pseudo ONG, l’état turc semble avoir ouvert les yeux, l’occident suivra-t-il ?

 

 

 

 

 

 

 

tribune juive info

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24 août 2014 7 24 /08 /août /2014 10:40

i169 mainisrael

 

flag israeljapon.gif

 

Une société israélienne est en pourparlers avec le Japon pour s’associer et construire des usines off-shore de dessalement.

 

« La société israélienne IDE Technologies Ltd espère fournir aux clients des plates-formes flottantes dans les trois ans et les chantiers navals ainsi que le gouvernement du Japon sont des partenaires potentiels pour y arriver », a déclaré Udi Tirosh, directeur du développement des affaires à l’entreprise basée à Kadima, en Israël.

 

« La société IDE s’est engagée dans des discussions avec des entreprises dans différents pays, mais ceux impliquant le Japon ont le plus progressé », a-t-il ajouté.

 

« Nous sommes à un stade précoce sur le plan commercial », a déclaré Tirosh, refusant de préciser que les entreprises japonaises sont impliquées dans les pourparlers .

 

« Nous avons avancé dans le côté technique ».

 

Naoto Nakagawa, directeur adjoint au ministère japonais du Territoire, des Infrastructures, des Transports et du bureau maritime de Tourisme, a déclaré dans un e -mail:

 

« Nous avons l’intention de faire des affaires entre IDE et toute société japonaise intéressée par le projet de navire de dessalement. Nos recherches nous ont prouvé que le marché des navires de dessalement est assez important ».

 

« Les conceptions de navires de l’IDE pourraient fournir de l’eau pour une ville de 850.000 personnes », affirme Tirosh.

 

«L’idée est de développer avec nos partenaires un programme pluriannuel et multi-navire qui fournirait une capacité importante d’eau à divers endroits dans le monde », précise-t-il.

 

Le marché mondial du dessalement devrait atteindre 15 milliards de dollars en 2018 soit plus du double de cette année.

 

 

 

 

Israel-Actu-Meteor.jpg

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19 juillet 2014 6 19 /07 /juillet /2014 16:13

Israel-Turquie.jpg

 

En dépit des tensions diplomatiques, les échanges mutuels entre les deux pays ont augmenté en 2014


Des chiffres publiés par le journal turc Zaman samedi, citant l'Institut turc de statistique, révèlent que, malgré la position officiellement anti-israélienne envers Israël, les échanges commerciaux entre les deux pays fleurissent - et cette croissance devrait se poursuivre cette année.

 

Le volume des échanges commerciaux entre les deux pays du Moyen-Orient a atteint plus de 5 milliards de dollars, comparativement à 3,4 milliards de dollars en 2008 - malgré une longue période de tensions graves entre Israël et la Turquie ces dernières années, suite à la crise diplomatique importante déclenchée par la flottille de Gaza en 2010, le Mavi Marmara.

 

La flottille, qui avait l'intention de naviguer de Chypre à Gaza afin de briser son siège naval, a été arrêtée dans les eaux internationales par un commando de la marine israélienne.

 

Les commandos sont montés à bord des navires, rencontrant la résistance de certains des passagers du bateau turc, et où un échange de tirs a entraîné la mort de neuf passagers du bateau, dont huit d'entre eux étaient des ressortissants turcs.

 

Dix soldats ont été blessés lors de l'affrontement à bord.

 

Mais en dépit des appels à rompre les liens économiques avec Israël en proclamant, par exemple, que ses ressortissants ne pourront plus se rendre en vacance en Turquie, une destination de petit prix populaire pour les Israéliens - un boycott organisé ne s'est jamais vraiment matérialisé.

 

En fait, c'est le contraire qui s'est passé, Israël étant selon Zaman, au 17e rang des exportations d'Israël en Turquie (en 2013, il a occupé la 24e place).

 

La semaine dernière, le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a déclaré que le processus de normalisation des relations turco-israéliennes ne peut pas se poursuivre tant qu'Israël continue à bombarder la bande de Gaza.

 

Plus tard, Israël a rappelé son personnel diplomatique en Turquie après une manifestation devant le consulat israélien à Istanbul qui a tourné aux affrontements avec la police.

 

Le ministre israélien de l'Economie Naftali Bennett, qui maintient normalement des positions contre la Turquie, a affirmé son espoir que 2014 sera une "année record" pour le commerce israélo-turc, a rapporté Zaman.

 

 

i24

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18 juillet 2014 5 18 /07 /juillet /2014 19:34

hillary-clinton.jpg

 

Hillary et Bill Clinton parlent de l’opération Bordure protectrice et de la façon dont toute la situation aurait pu être évitée

 

Au cours du programme « Charlie Rose » de jeudi, Hillary Rodham Clinton a évoqué brièvement la situation actuelle du conflit à Gaza.

Les choses se sont compliquées plus tôt cette semaine lorsqu’elle avait abordé le même sujet avec Jon Stewart sur le « Daily Show ».

 

La partie de l’entretien dans laquelle Gaza a été évoquée n’a pas été diffusée, mais publiée sur Internet.

 

Clinton y rejette la responsabilité du conflit sur le Hamas.

 

Hilary Clinton a été poussée dans ses retranchements par Stewart qui a critiqué l’opération militaire israéliennes (et a lui même été critiqué pour cela).

 

bill clintonComme le note Yair Rosenberg de Tablet, Hilary n’est pas la seule Clinton à fustiger le Hamas pour le conflit actuel.

 

Son mari Bill a déclaré à un réseau de télévision indien que le Hamas a pour « stratégie de forcer Israël à tuer ses propres citoyens afin que le reste de monde puisse les condamner ».

 

L’ancien président a également averti Israël :

 

« A long terme, il n’est pas bon pour Israël de continuer à s’isoler de l’opinion mondiale à cause de l’absence d’un processus de paix ».

 

Il a déclaré qu’il croyait que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu « pourrait et devrait faire un accord de paix global avec les Palestiniens ».

 

 

 

 

 

thetimesofisrael-fr

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17 juillet 2014 4 17 /07 /juillet /2014 18:04

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Comme le bellicisme et la férocité du Hamas qui arrose Israël de roquettes et qui refuse les cessez-le-feu sont d'une évidence aveuglante, les adversaires d'Israël pensent avoir trouvé un angle d'attaque pour  mettre quand même l'Etat juif en accusation.
Ils lui reprochent d'être le responsable pour ne pas vouloir une solution politique globale au conflit israélo-palestinien. Au premier rang d'entre eux, l'administration Obama. Dans un très remarquable article, Emmanuel Navon, réfute ce procès infâme et pointe le double discours de Washington. (NdR)

*************************
Le consensus général à propos du dernier affrontement entre Israël et le Hamas est fondé sur l'idée que seul un règlement politique pourra éviter le cycle des tirs de roquettes et des représailles.
The Economist, par exemple, a écrit qu’ “une paix durable ne s’installera que lorsque les deux parties parviendront à un règlement global.
Le Président Obama a déclaré que “la seule voie pour une véritable sécurité est une paix juste et durable entre Israéliens et Palestiniens.
Ces déclarations sont tautologiques : à l’évidence, il n’y aurait pas de guerre s’il y avait la paix.
La question n’est pas de savoir si la paix entre Juifs et Arabes est désirable, mais si elle est possible.
Le Président Obama dit y croire.
La semaine dernière, il a envoyé le coordinateur de la Maison Blanche pour le Moyen-Orient, Philip Gordon, s’exprimer à la “Conférence d’Israël sur la Paix” à Tel Aviv. 
Comment”, demanda Gordon, “Israël pourrait-il avoir la paix s’il n’accepte pas de délimiter une frontière, de mettre fin à l’occupation et d’accorder aux Palestiniens la souveraineté, la sécurité, et la dignité?
C’est une bonne question.
Mais en voici une meilleure : Comment Israël peut-il avoir la paix s’il accepte de délimiter une frontière, de mettre fin à l’occupation et d’accorder aux Palestiniens la souveraineté, la sécurité et la dignité?
Car Israël n’avait pas la paix lorsqu’il existait une telle une frontière entre 1949 et 1967, et quand il a offert de redéfinir cette frontière, avec des changements mineurs, en juillet 2000 et en mai 2008, il na pas obtenu pas la paix que cette initiative était censée produire.
L’expérience, la logique et la déduction suggèrent que la Judée-Samarie se transformera en Bande de Gaza en plus vaste et en plus meurtrier après le retrait que Gordon appelle de ses vœux.
Gordon en est conscient :
Nous savons que de nombreux Israéliens craignent un retrait de la Cisjordanie en raison de l’expérience de Gaza, d’où les roquettes continuent de frapper Israël, en dépit du retrait complet des troupes et des implantation israéliennes.” 
La solution?
Un plan de sécurité américain dont les détails “restent classifiés.”
Gordon a prononcé ces paroles peu après que son public ait dû être évacuée en raison des roquettes tirées sur Tel Aviv depuis Gaza par les “technocrates” qui ont récemment rejoint le gouvernement de l’Autorité palestinienne (un gouvernement que le Secrétaire d’État américain John Kerry s’est empressé de reconnaître parce que Mahmoud Abbas lui a assuré qu’il "s'était engagé à ne pas utiliser la violence"').
Parce que les détails du plan de sécurité américain pour la Judée-Samarie “demeurent classifiés” Gordon nous demande de lui faire confiance lorsqu’il nous assure que le destin de la Judée-Samarie sera différent de celui de Gaza après un retrait israélien.
Avec le respect qui lui est dû, si nous n’avons pas accès au “plan de sécurité classifié” de Gordon, nous avons sous les yeux le spectacle des forces de sécurité irakiennes entraînées par les États-Unis.
Lors des dernières négociations avortées entre Israël et l’Autorité palestinienne, l’Administration Obama a proposé de remplacer la présence de l’armée israélienne dans la Vallée du Jourdain par des forces palestiniennes entraînées par ses soins.
Les forces entraînées par les États-Unis en Irak ont été incapables (ou n’ont pas voulu) stopper l’avancée de l’État islamique d’Irak et du Levant (EIIS).
Si les soldats irakiens formés par les Américains ne sont pas prêts à se battre contre l’EIIS pour protéger leur propre pays, pourquoi les soldats palestiniens formés par les États-Unis accepteraient-ils de se battre contre leurs frères arabes pour protéger Israël dans la Vallée du Jourdain ?
D’ailleurs, les forces irakiennes formées par les États-Unis ont été inefficaces dans la protection du gouvernement chiite tout comme les soldats formés par les États-Unis à Gaza le furent, en 2007, pour protéger le gouvernement de l’OLP.
L’EIIS, qui a un contingent palestinien, menace à présent la Jordanie.
Les Palestiniens formés par les États-Unis tireront-ils sur leurs frères pour protéger les frontières d’Israël ?
Philip Gordon n’est pas plus convaincant lorsqu’il appelle Israël à accorder aux Palestiniens “souveraineté, sécurité et dignité.
Quel pays dans le monde arabe, je vous prie, respecte la sécurité et la dignité à ses citoyens ?
Et si l’Administration Obama est si préoccupée par la “souveraineté, la dignité et la sécurité” des peuples du Moyen-Orient, pourquoi refuse-t-elle ces attributs aux Kurdes?
John Kerry a récemment demandé au président kurde Massoud Barzani de mettre de côté ses aspirations à un État indépendant.
L’administration Obama a peur qu’un État kurde indépendant en Irak n’encourage une sécession des Kurdes en Turquie et en Iran.
Obama ne veut pas irriter l’Iran au milieu de difficiles négociations sur le programme nucléaire des ayatollahs, et il ne veut pas non plus s’aliéner le tempétueux premier ministre turc.
Donc la “souveraineté, la sécurité et la dignité” kurdes peuvent attendre.
Évidemment, on ne saurait reprocher aux États-Unis de pratiquer la Realpolitik.
Mais ils pourraient au moins avoir la décence de ne pas nous prendre pour des imbéciles.
par Emmanuel Navon,
i24
Emmanuel Navon dirige le département de science politique et de communication de l'université orthodoxe de Jérusalem et enseigne les relations internationales à l'Université de Tel Aviv et au Centre interdisciplinaire d’Herzliya. Il est membre du Forum Kohelet de politique publique.



 i24 News,

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15 juillet 2014 2 15 /07 /juillet /2014 16:21

Le-ministre-des-Affaires-etrangeres-canadien-John-Baird-C.jpg

 

« Triste rappel qu’antisionisme et antisémitisme se chevauchent souvent », a déclaré le ministre canadien des Affaires étrangères, John Baird

 

Allié indéfectible d’Israël, le Canada s’est dit inquiet lundi pour la sécurité des juifs français après les échauffourées qui ont éclaté ce week-end à Paris à proximité de deux synagogues, en marge d’une manifestation pro-palestinienne.

 

Ces violences, durant lesquelles deux membres de la communauté juive ont été légèrement blessés, ainsi que six membres des forces de l’ordre, constituent des « actions antisémites inquiétantes pour la sécurité des juifs en France », a réagi sur Twitter le ministre canadien des Affaires étrangères, John Baird.

 

Dans un second message publié sur le réseau social, le ministre a toutefois précisé que « le Canada demeure confiant que la France prendra de fermes mesures préventives, et permettra à sa population juive de se sentir en sécurité ».

 

Depuis le début de l’opération, Bordure protectrice, lancée il y a une semaine par Israël sur la bande de Gaza, John Baird a réitéré à plusieurs occasions le plein soutien de son gouvernement au « droit (d’Israël) de se défendre contre des agressions terroristes ».

 

Samedi, le Canada a notamment « rejeté les critiques » du haut-Commissaire des Nations-unies aux droits de l’homme sur la réponse militaire d’Israël, accusant plutôt le Hamas et ses alliés d’être « les seuls responsables » de la mort et la souffrance de civils à Gaza.

 

Lundi, au cours de la traditionnelle interview du 14-Juillet, le président français François Hollande a affirmé que le conflit israélo-palestinien « ne (pouvait) pas s’importer » en France.

 

« Il n’y aura aucune tolérance par rapport à telle ou telle intrusion, tel ou tel débordement », a mis en garde le chef de l’Etat.

 

 

thetimesofisrael-fr

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5 juillet 2014 6 05 /07 /juillet /2014 21:59

linor_abargil.jpg

 

Linor Abargil, juive israélienne, a été violée deux mois avant son titre de Miss Monde, en 1998.

 

Un documentaire sur son histoire parcourt désormais le monde.

 

L'occasion pour elle de témoigner.

 

De ce jour de novembre 1998, Linor Abargil se souvient surtout que, sous la couronne de Miss Monde que l'on venait de lui poser sur la tête, elle se forçait à sourire.

 

Violée sous la menace d'un couteau par un homme de son entourage six semaines plus tôt, la jeune Israélienne n'avait alors pas du tout le coeur à célébrer son sacre.

 

"Je m'efforçais de faire bonne figure, mais à l'intérieur, j'étais brisée", confie celle qui, à 34 ans, parcourt désormais le monde pour marteler aux femmes victimes de violences sexuelles "qu'il faut parler, sortir cela de vous, ne pas laisser l'impression de souillure vous ronger comme une tumeur".


Un combat au coeur de Brave Miss World (1), le documentaire que Cecilia Peck vient de consacrer à Linor Abargil et dont la tournée l'a menée jusqu'en Inde, où le sort atroce réservé à deux ados retrouvées pendues après avoir subi un viol collectif vient encore de bouleverser l'opinion mondiale.

 

"J'ai été frappée par la peur des femmes indiennes. Elles sont des proies faciles pour les agresseurs auxquels les traditions offrent l'impunité", témoigne Linor.

 

Sur les campus nord-américains, le film tourne souvent à la thérapie collective, alors que le problème des viols à l'université - une étudiante sur cinq serait touchée - est au coeur des débats là-bas.

 

En attendant de trouver des distributeurs en France, le film a été projeté à Paris le 9 juin.

 

"Le volcan est sur le point d'exploser,résume la fille de l'acteur Gregory Peck. L'apathie qui entoure le viol s'était transformée en une tolérance tacite, mais il est enfin possible d'en parler en public."

 

Refuser de se taire a, d'une certaine façon, sauvé l'ex-reine de beauté.

 

Encouragée par sa mère, elle avait tout de suite porté plainte, permettant le jugement de son violeur en 1999, lors d'un procès très médiatisé.

 

Il sera condamné à seize ans de prison.

 

linorabargil.jpgDéjà célèbre dans un pays qui voue un culte à ses mannequins, Linor Abargil devient un symbole, attirant les témoignages d'autres victimes, dont plusieurs sont publiés sur BraveMissWorld.com.

 

"La honte est un sentiment que partagent toutes les femmes violées. Mon but, c'est de les aider à la surmonter", conclut Linor Abergil, reconnaissante, finalement, à cette "stupide couronne" de Miss Monde de lui permettre de faire entendre sa voix.

 

La belle égérie juive et israélienne est devenue aujourd'hui avocate spécialisée en affaires criminelles.

 

Mariée, elle a eu trois enfants enseignés dans les valeurs pieuses du judaïme, le souci attentif de l'autre et l'amour d'Israël.

 

Qui a dit que les candidates aux concours de beauté n'étaient pas sincères lorsqu'elles assurent vouloir changer le monde ?

 

 

 

 

Linor-Abargil.jpg

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5 juillet 2014 6 05 /07 /juillet /2014 21:57

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Les noms des groupes israéliens présents en Afrique sont moins connus que ceux de Dan Gertler ou Beny Steinmetz, des magnats miniers aux méthodes pas toujours orthodoxes.

 

Le continent n’en est pas moins une terre d’expansion pour Israël, qui y vend son expertise dans l’ingénierie, l’agronomie, l’irrigation et la sécurité.

 

Pas une semaine ne passe sans l’annonce d’un nouveau contrat entre un pays d’Afrique et Israël.

 

Parmi les plus gros projets en cours figure la centrale thermique au gaz naturel de Songon-Dagbé, qui sera construite dans la banlieue d’Abidjan par le groupe israélien Telemania pour 500 millions d’euros.

 

Les principaux débouchés des industries de pointe d’Israël se trouvent plutôt aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne et en Chine.

 

Un signe qui ne trompe pas : l’Afrique est classée avec la Turquie, le Canada et le Brésil dans la section « reste du monde » des statistiques de l’Institut israélien des exportations et de la coopération internationale (IEICI).

 

Une vaste zone qui représente tout de même 24 % des ventes d’Israël à l’étranger.

 

Des échanges favorables à l’Afrique du Sud


En 2013, l’Afrique du Sud, le Togo, le Nigeria, l’Egypte et le Kenya ont été les principaux partenaires commerciaux d’Israël en Afrique.

 

Le Togo, d’habitude moins important, ne se retrouve classé second qu’en raison d’une forte variation annuelle, avec 191 millions d’importations en provenance d’Israël, contre 64 millions en 2012 selon les statistiques israéliennes.

 

Le pays de Mandela draine l’essentiel des échanges, dans une relation qui repose en grande partie sur l’industrie diamantaire et s’avère favorable à l’Afrique du Sud.

 

Les produits et biens d’équipement importés d’Israël ont atteint 425 millions de dollars en 2013 (dont 147 millions de diamants).

 

Les ventes de minerais et métaux précieux de l’Afrique du Sud à Israël se sont élevées à 721 millions de dollars (dont 283 millions de diamants).

 

Un flux constant de gemmes va et vient entre les deux pays. Les diamantaires de Tel-Aviv s’approvisionnent en Afrique du Sud auprès du groupe De Beers en gemmes bruts, pour y réexporter ensuite des pierres taillées.

 

« Pour le reste, les sociétés israéliennes s’intéressent surtout aux marchés de l’agro-technologie, des technologies de l’information, de l’énergie renouvelable et du traitement des eaux », note Itaï Melchior, l’attaché économique de l’ambassade d’Israël à Johannesburg.

 

Le Nigeria, de son côté, a importé pour 155 millions de biens israéliens en 2013 (contre 368 millions en 2012) alors que ses ventes à Israël ne dépassent pas 10 millions de dollars.

 

Quant à l’Egypte, elle a acheté pour 120 millions de biens à Israël en 2013 (contre 97 millions en 2012) et lui en a vendu pour 108 millions de dollars.

 

Le Kenya, de son côté, s’est approvisionné à hauteur de 91 millions auprès d’Israël (contre 120 millions en 2012), mais n’y a écoulé des produits qu’à hauteur de 27 millions de dollars.

 

Des amitiés particulières


Il ressort de ces chiffres des variations annuelles importantes, en fonction des contrats passés chaque année.

 

Des liens particuliers entre certains pays et l’Etat hébreu marquent ces échanges.

 

Comme le Togo, la Côte d’Ivoire, le Cameroun et la République démocratique du Congo (RDC) ont renoué avec Israël dès les années 1980, bien avant les autres pays membres de l’Union africaine (UA), qui avaient tous rompu en 1973 après la guerre du Kippour.

 

Le soutien militaire apporté par des experts israéliens au régime de Laurent Gbagbo, en Côte d’Ivoire, n’a pas empêché son successeur, Alassane Ouattara, de conserver de bons rapports avec Jérusalem.

 

Le président ivoirien compte parmi ses amis Stanley Fisher, le gouverneur de la Banque centrale d’Israël, un ancien collègue du Fonds monétaire international (FMI).

 

Aujourd’hui, le port autonome d’Abidjan comme l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny sont sécurisés par des filiales de la société israélo-canadienne Visual Defence.

 

En RDC, l’homme d’affaires israélien Dan Gertler, un proche du président Joseph Kabila, mène des affaires prospères.

 

Ses intérêts vont du diamant au cuivre en passant par le pétrole, l’agro-industrie et les infrastructures.

 

L’un de ses anciens associés, Beny Steinmetz, a en revanche été accusé de corruption en Guinée, où il s’est vu retirer ses droits sur le colossal gisement de fer de Simandou.

 

Pays anglophones et efforts de lobbying


Si l’Afrique reste perçue comme un terrain risqué où des aventuriers peuvent faire fortune, elle n’est pas dénuée d’intérêt pour Israël.

 

En septembre 2009, Avigdor Liberman, le ministre des Affaires étrangères, était passé par l’Ethiopie, le Kenya, l’Ouganda, le Ghana et le Nigeria, privilégiant des pays anglophones ou engagés dans la lutte contre les islamistes en Somalie.

 

Des efforts de lobbying sont par ailleurs entrepris.

 

En juin 2012, une délégation de cinq gouverneurs de banques centrales africaines (Ghana, Kenya, Ouganda, Sud-Soudan, Swaziland et Zambie) s’est ainsi rendue en Israël.

 

Un voyage sponsorisé par America’s Voices in Israel (Avi). Cette association organise des déplacements d’Américains influents pour changer leurs perceptions sur Israël.

 

Elle a entrepris de faire le même travail auprès des leaders d’opinions africains.

 

 

 

 

 

RFI--Les-voix-du-monde.jpg

 

 

 

 

 

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4 juillet 2014 5 04 /07 /juillet /2014 21:58

CleanTech.jpg

 

Israël vient d’être classé premier pays au monde dans le domaine de l’innovation liée aux technologies propres (CleanTech).

 

Le taux de start-ups par habitant, particulièrement élevé dans le pays, est un des facteurs essentiels permettant d’expliquer la première place occupée cette année par Israël dans le classement “Global CleanTech Innovation Index 2014″.

 

Le palmarès, établi conjointement par WWF et CleanTech Group, souligne l’existence en Israël d’une très forte culture entrepreneuriale, d’un système éducatif de haut niveau et d’importantes contraintes géographiques et naturelles, liées notamment à la faible pluviométrie dans une très grande partie du pays.

 

Autant d’éléments propres à Israël et qui s’avèrent au final particulièrement propices à l’émergence de start-ups innovantes dans le secteur des technologies propres.

 

Les auteurs du classement donnent l’exemple de plusieurs sociétés israéliennes du secteur ayant particulièrement bien réussi.

 

Il s’agit notamment de la société spécialisée dans le traitement des eaux usées Emefcy et de Kaiima, spécialiste des technologies liées aux semences agricoles. 

 

“Nous sommes satisfaits du constat établi par WWF et CleanTech Group” a déclaré Oded Distel, qui dirige Israël New Tech, le programme gouvernemental du Ministère de l’Economie israélien destiné à favoriser le développement des entreprises du secteur des technologies propres.

 

“Nous nous attelons depuis 2006, au sein d’Israël New Tech, à aider à la croissance des sociétés innovantes israéliennes du secteur et nous les soutenons dans leurs efforts pour conquérir des parts de marché à l’international. Nous faisons également en sorte d’aider le secteur en Israël même, de façons extrêmement variées. Nous sommes contents de voir bon nombre de sociétés israéliennes du secteur des technologies propres si bien réussir et le fait que la communauté internationale reconnaisse aujourd’hui l’excellence israélienne en la matière est pour nous un motif de satisfaction”

 

Le rapport souligne également l’importance des aides publiques pour expliquer le succès que rencontrent les sociétés israéliennes du secteur des technologies propres.

 

Israël a en effet développé des politiques gouvernementales généreuses en matière d’aide au secteur et le pays possède de nombreux fonds spécialisés qui investissent dans les technologies propres.

 

L’activité dans le secteur des fusions et acquisitions est également soutenue, malgré la faiblesse des revenues des entreprises du secteur.

 

Le pays a vu un nombre très significatif de sociétés du secteur classées au sein de l’indice Global CleanTech 100 au cours des deux dernières années.

 

Toujours d’après le rapport “Global CleanTech Innovation Index 2014″, Israël est le pays de l’innovation dans le domaine des technologies propres par excellence.

 

Ceci s’explique d’abord par le fait que l’esprit d’entreprise est extrêmement valorisé, à la fois dans le système éducatif et dans la société dans son ensemble, qui le considère comme la norme.

 

L’aptitude des start-ups israéliennes à trouver toujours davantage de ressources, dans ce qui s’apparente à un mécanisme de survie dans un environnement où les contraintes liées au manque de ressources et à la dépendance énergétique sont fortes, est une autre explication de cette capacité à innover.

 

Si l’on rapporte chaque pays à sa population totale, les sociétés israéliennes du secteur des technologies propres, qui sont au nombre de 19 au total, sont nettement surreprésentées dans le classement mondial Global CleanTech 100.

 

La Finlande et les Etats-Unis occupent respectivement la deuxième et la troisième place du palmarès et des signaux positifs concernant l’environnement lié à l’innovation sur les marchés chinois, indien et brésilien commencent à émerger.

 

L’étude, effectuée par le CleanTech Group, porte sur 40 pays et couvre l’ensemble des pays du G20.

 

Un des critères principaux d’évaluation est la capacité de chaque pays à créer un environnement propice au développement et la commercialisation de l’innovation.

 

Les autres pays classés parmi les 10 premiers dans le monde sont la Suède (4ème), le Danemark (5ème), le Royaume-Uni (6ème) et l’Irlande (10ème). Autant de signaux qui laissent présager une forte croissance de l’emploi dans le secteur des technologies propres au cours des années à venir !

 

 

L’intégralité du rapport est disponible ici.

 

 

 

siliconwadi

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4 juillet 2014 5 04 /07 /juillet /2014 20:55

cameroun-israel.jpg

 

L’ambassadeur d’Israël au Cameroun a eu une façon originale de célébrer la Journée de l’Indépendance de l’Etat juif cette année :

 

au lieu d’organiser une réception festive, il a lancé un projet visant à fournir des soins médicaux pour plus de 10.000 enfants du camp de réfugiés de Gado dans l’est du Cameroun.

 

Dans le cadre du projet qui a été financé et organisé par l’ambassade d’Israël, 5300 enfants déjà ont été vaccinés contre la polio, 4917 contre la rougeole, et 543 enfants ont reçu des soins médicaux initiaux…

 

Ce projet a été coordonné avec les différents organismes des Nations Unies, dont l’Organisation mondiale de la Santé, la Croix-Rouge, le Croissant-Rouge, Médecins sans frontières, le ministère de la santé local et l’Association des Pédiatres locaux.

 

Les enfants sont des réfugiés de la République centrafricaine qui ont fui la violence dans leur pays.

 

La plupart d’entre eux sont musulmans.

 

Les vaccinations ont été effectuées pendant une semaine pour les enfants de moins de 15 ans.

 

israel-cameroun.jpgLe camp compte 19.000 personnes.

 

Un total de 12 000 sont des enfants de moins de 15, beaucoup d’entre eux souffrent de malnutrition, ce qui facilite l’infection par d’autres maladies.

 

L’ambassadeur israélien Nadav Cohen a recruté environ 30 membres du personnel et des médecins pour l’opération.

 

Malgré les difficultés d’organisation, le projet a eu lieu comme prévu.

 

« Il y avait des conditions physiques et mentales très difficiles, mais nous avons atteint les objectifs que nous nous fixions,» a t’il dit.

 

« Nous avons découvert 15 cas de tuberculose, le début d’une épidémie… »

 

« Le programme israélien a été bien accueilli par le système de santé du Cameroun, ainsi que par les organismes internationaux d’aide avec lesquels nous avons travaillé,» dit l’ambassadeur.  »

 

 

 

 Jeremyah Albert

– JSSNews

 

 

 

 

 

 

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